dimanche 14 décembre 2014

Le gay recyclage de Marine, un tri pas très sélectif

Avec l'intégration au RBM du fondateur de Gaylib, l'ex-UMPiste Sebastien Chenu, Marine Le Pen commet la première entorse de fond sur la ligne, non pas programmatique, mais idéologique de son parti, et de son périmètre d'adhésion. A cette occasion, le crétinisme médiatique focalisera évidement sur l'homosexualités d'un nombre significatif de cadres ralliés ou anciens du FN, et de celui-ci en particulier.
Ceci pour mieux masquer que si entretenir des liens homosexuels est une chose vue comme banale et privée dans nos traditions françaises, être un activiste gay en est une autre qui n'a rien de banalisable ni de privée. Et qu'être un activiste gay, posture politique et idéologique importée d'outre-atlantique a des fins destructrices, est incompatible avec le patriotisme et le projet de redressement national du FN.

La fin justifie t-elle les moyens ? nous n'avons pas fini de poser cette question.

Créteil : Valls joue dangereusement avec une étoile jaune à double effet

Il y a de quoi être inquiet pour les français, juifs et autres. Le "crime de Créteil" est hélas le lot commun subit par tous les français, une conséquence mécanique de l'immigration de masse, du pourrissement social (et socialiste) organisé, du laxisme de Taubira, et de la destruction de l'école.
Les Ladji, Yacine et Omar qui ont commis ces violences sont les purs produits de l'idéologie du "progrès", du métissage, du culte de l'argent facile, et du modèle de réussite morbide d'une classe politique dépravée. Dieudonné n'y est pour rien.
Mais il fallait un écran de fumée au gouvernement pour masquer sa responsabilité qui est totale dans les facteurs de ce crime, et on a ressorti les fumigènes de l'antiracisme et de la lutte contre l'antisémitisme.

Pour Bernard Cazeneuve, "ce crime (...) n’est pas un simple fait divers. Derrière ce crime, il y a un mal qui ronge la République et que nous devons combattre à tout prix".

Dont acte MM.Cazeneuve et Valls : merci de reconnaître aussi solennellement le résultat de votre politique et de celle de vos prédécésseurs.

Oui, et donc le mal qui ronge la République, c'est bien vous !