dimanche 4 août 2013

La mort politiquement préméditée et organisée par la gauche

L'univers mental de Méric

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Il est établit par l'instruction que la mort de Clément Méric est bien la conséquence de ses propres actes et de son propre comportement : de l'historique de son parcours militant jusqu'au détail de ses gestes sur la scène de sa mort, tout l'accable et atteste de son intention préméditée de provoquer les facteurs du drame.
La nature de son engagement radical et les modalités violentes de son militantisme sont des facteurs de désordres et de risques évidents que pouvaient anticiper les cadres et les responsables politiques de gauche plus ou moins liés à son mouvement. Ils ne l'ont pas fait, bien au contraire.
Or nous savons que le périmètre des politiques "commanditaires" des services antifa remonte jusqu'au plus haut niveau du Parti Socialiste et du Front de Gauche actuels.

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Il est établit aussi que le gouvernement et l'ensemble de son réseau politique et médiatique de gauche ont officiellement cautionnés et endossé la justification de cet engagement, de ces méthodes, par conséquent de ces facteurs de désordres et de risques mortels
- en désignant les statut de victime et d'agresseur avant l'investigation de la justice
- en publiant des narrations fictives
- en rendant "hommage" à la pseudo-victime
- en maintenant la thèse de l'agression malgré le rapport de la justice
- en omettant de sanctionner par dissolution les organisations antifa, mais en sanctionnant au contraire d'autres qui sont hors de cause

L'implication du gouvernement dans le drame est beaucoup plus profonde qu'on ne l'a dit.
On ne peut se contenter de constater la simple récupération politique d'un fait divers : nous sommes en face d'un système organisé de manipulation capable d'organiser la mise en scène de de violence et la production de "martyrs".

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Si on ne peut prouver que le gouvernement et son réseau ont prémédité et organisé l’exécution factuelle on démontre aisément qu'ils en avaient bien prémédité le principe et analysé avant les faits les bénéfices politiques.
Restait donc à décrire comment ils opèrent le passage à l'acte, selon quelles inspirations, conformément à quels antécédents ? C'est ce que développe Lucien Cerise dans son article sur scriptoblog : Clément Méric, victime d'un coup monté ? 

Ce qui nous amène à une autre idée : Le pouvoir ne cherche même plus la vraisemblance de ses thèses et à masquer son cynisme. Tout montre qu'il valorise prioritairement sa faculté de déni et le mensonge comme une bravade lancée au peuple dans l'intention de le provoquer et d'affirmer le substitut d'un pouvoir réel sur les vrais enjeux qu'il n'a plus.
Le gouvernement des faibles est le plus dangereux et le plus violent. Attendez-vous au pire.

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