vendredi 16 août 2013

Contre le totalitarisme du clan de la prétendue "musique contemporaine"

Cette conférence que je découvre tardivement a le grand mérite d'être un excellent point d'entrée accessible à tout public pour une réflexion sur ce que fut, est, et devient la musique, c'est à dire en fait, nous, homos musicalis. Même sans être initié aux arcanes de la musicologie, on comprend vite que derrière l'enjeu esthétique se cache un arrière plan politique et idéologique que je laisse découvrir.
Soyons direct, la "musique contemporaine" nous semble une de ces vastes escroqueries institutionnelles dont la république à le secret.

Olivier Bellamy - www.huffingtonpost.fr : "Jérôme Ducros a remis en cause le sacro-saint principe
de progrès en art afin de montrer que l'on devrait avoir le droit d'écrire de la musique tonale
post-romantique malgré la révolution amorcée par Schönberg, lequel disait lui-même :
"Il reste encore de belles œuvres à écrire en ut mineur."

Méprisés par l'avant-garde française, des compositeurs comme Karol Beffa ou Guillaume Connesson qui tentent de renouer avec un public non averti, et ne comprenant plus rien à la musique de son temps, sont systématiquement écartés du circuit des subventions étatiques..." 

mercredi 14 août 2013

Fabius, la Syrie : le bal des vampires doit finir

Les syriens vous demanderons des comptes, Laurent Fabius... nous aussi !

Le peuple syrien est entrain de gagner un guerre d'agression et d'ingérence étrangère épouvantablement meurtière. Nous sommes peut-être près d'assister à la première victoire hautement symbolique d'une nation au XXIe siècle, et d'une nation arabe en particulier, ce qui n'était pas arrivé depuis des décennies. Ce qui pourra marquer un tournant dans la donne géostratégique moyen-orientale comme dans l'esprit des patriotes attachés à la résistance des nations.

Les jeunes de Val de Reuil vus par Marc Antoine Jamet

Dans la série des gags de l'été :
cette photo tirée du blog du maire de Val de Reuil, Vice Prdt de la Région Hte Normandie
"Par l’humour, la musique ou la mer, de jeunes Rolivalois mettent les voiles* cet été. Destinations détente et vacances. Félicitations au service jeunesse de la mairie et aux animateurs qui mettent cela chaque année en oeuvre pour des centaines de jeunes avec bonne humeur, maîtrise et responsabilité."
* ou les retire, c'est selon.

Marc Antoine aime la diversité comme jamais...

mardi 13 août 2013

Oui Mme Tasin, la critique de la république est un devoir républicain

Les Lumières annoncées...
Les patriotes qui fréquentent les sites de Risposte laïque, Résistance Républicaine, Boulevard Voltaire
ont pu voir s'amorcer un débat critique sur la République, sa décadence européiste, ses origines libérales, ses mythes, ou au contraire sa défense comme planche de salut, son bilan progressiste, ses principes insurpassables.

Naturellement, Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine est venu mettre le holà avec la souplesse d'un éléphant dans un magasin de porcelaine, criant à la trahison, l'irresponsabilité, au retour de l'obscurantisme catholico-monarchiste, au complot ourdi par Béatrice Bourges du printemps français autant qu'à la sape cryto-islamophile d'Alain Soral et Marion Sigaut chez Egalité et réconciliation.

Voici en bref pourquoi une fois encore le Tasinisme nous semble insensé


... et leurs effets réels !
Tous les patriotes devraient - presque par définition - être ouvert autant à un bilan positif de l'oeuvre de la république qu'à une critique des contradictions de ses principes, des effets pervers de leur application. C'est même, et de longue date, un devoir minimum dans un régime dit démocratique.

Vouloir faire de la radicalité républicaine pour contrer la radicalité islamique est une entreprise aussi vaine et aussi contradictoire que d'en faire un rempart contre les ravages du capitalisme mondialisé.
Bâtir une mythologie des Lumières n'aura aucun poids face aux dogmes coraniques, pas plus que face à l'empire de la banque. La laïcité à la française, pilier du "Tasinisme", ne fut que l'arme maçonique de déchristianistion et la laïcité à l'anglo-saxonne en est la vraie finalité communautariste. Les faits le prouvent.

Surtout, tous les patriotes devraient être ouverts à cette prise de conscience :
De fait la république française n'existe plus en substance sinon en tant que coquille vide puisque qu'elle s'est elle même démunie de ses prérogatives au profit de l'UE et qu'elle a abandonné la nation comme source de sa légitimité. Elle est née d'une révolution bourgeoise, mais la bourgeoisie qui n'a jamais été patriote, n'a plus besoin d'elle.

Dès lors ceux qui souhaiteraient refonder cette république devraient en accueillir toute critique comme contribution. Repenser les "Lumières" comme inspiratrices des fondements de la République mais aussi comme porteuses des facteurs de sa destruction ou de son dévoiement est plus que jamais d'actualité.
D'autant que ce travail a été largement entrepris depuis... le début, au moins depuis de milieu du XIXe siècle.

La question est maintenant de savoir si la lutte contre l'islam de Résistance Républicaine n'est pas aussi un prétexte pour ne pas parler des vraies forces qui ont fondé puis abandonné la république et la nation.

Aperçu des débats


La résistance patriotique s’enracine dans la France avant d’être « républicaine » ou « jacobine » / Jacques Philarchein, philosophe / 5 août 2013 RL

"Depuis un certain temps, des divergences se font sentir au sein de Riposte Laïque par rapport aux positions statutaires très XVIII° siècle et jacobines de l’association Résistance Républicaine. De nombreux contributeurs émettent des doutes sur 1789, sur les Lumières, sur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, sur les « valeurs républicaines » en un mot. Et je fais partie de ces contributeurs… dissidents. [...] et si les fameuses « valeurs républicaines » n’étaient que du Vide ?"

Grand Néant de France : la franc-maçonnerie a du pouvoir, mais aucun savoir / Paul-Antoine Desroches / 2 août 2013 RL

"Car, en définitive, la franc-maçonnerie et Christine, qui n’est pas franc-maçonne, emploient un langage commun. Et c’est bien cela qui me chiffonne : laïcité, Lumières, 1789, république, tolérance, universalisme. Voilà des mots qui sont, systématiquement, je dis bien systématiquement, employés par l’ennemi, les francs-maçons, les mondialistes, Manuel Valls, Hollande, etc. Cela devrait nous faire réfléchir : lorsque le champ lexical de la République, de la « concorde universelle » et autres gamineries, est à ce point utilisé par l’ennemi, il est grand temps de quitter le navire sémantique et de changer nos habitudes de langage."

Cracher sur la laïcité, les Lumières et 1789 est criminel ! / Christine Tasin / 1 août 2013 BV

"Que l’on puisse minimiser ces avancées considérables en les imputant aux seuls francs-maçons est une erreur historique considérable et une tragédie pour l’homme. Cracher sur la laïcité, c’est cracher sur le seul système qui, si la loi de 1905 était appliquée, permettrait le respect des consciences, des croyances, des cultes, la liberté de l’être humain, et assurerait la préséance de la loi humaine, celle du peuple, sur celle d’un Dieu - loi prétendument divine transmise par des hommes - auquel ne croit qu’une partie de la population."

Parce que la France les déçoit, ils s’en prennent à la République et à la laïcité / Christine Tasin / 5 août 2013 RR

"Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage. Accuser la République, les Lumières et 1789 de tous les maux sous prétexte qu’à certains moments ils auraient été trahis par des hommes, c’est une façon d’aider nos ennemis à tuer la France. Je finirai en citant Voltaire, qu’il est de bon ton dans certains milieux de vilipender, parce qu’il incarne mieux et plus que tout autre la dénonciation des superstitions, la liberté critique, la lutte pour la justice et l’émancipation de l’homme de la royauté, de la religion et des préjugés."

Que doivent faire les Résistants avec les courants anti-républicains ? / Rigdebert Rinocero / 8 août 2013 RL

"En effet si l’on ne peut, comme le fait Christine dans son article,  que condamner la complaisance dont fait preuve le gouvernement socialiste et l’ensemble des formations de gauche  ainsi que les obédiences franc-maçonnes à l’égard  du prosélytisme musulman (... également le fait de nombreux dirigeants UMP) et de ses nombreuses entorses à la laïcité,  ce n’est pas une raison pour remettre en cause  les principes mêmes qui régissent la vie de notre pays et notamment les valeurs républicaines et laïques qui ont fait la France d’aujourd’hui,  même si  celle-ci est aussi l’héritière de siècles de pouvoir monarchique."

La France ou la République : enfin le vrai débat commence / Ahmed Ghlamallah, membre de DLR / 12 août 2013 RL


"Non, ce n’est pas la France qui déçoit comme le suppose Christine Tasin,  ce qui est hors-sujet.
Ce qui déçoit, c’est  le système républicain et sa démocratie « représentative », confectionné pour permettre à des minorités puissantes et structurées d’imposer leurs vues, leur lexique, leurs normes et leurs intérêts  à une majorité subissante. La République ne peut être identifiée à la France, dont elle n’est qu’une étape dans une longue histoire."


Voir aussi :

Revisiter l’humanisme des Lumières, video de conférence, par Marion Sigaut, E&G, DLR

dimanche 4 août 2013

La mort politiquement préméditée et organisée par la gauche

L'univers mental de Méric

1

Il est établit par l'instruction que la mort de Clément Méric est bien la conséquence de ses propres actes et de son propre comportement : de l'historique de son parcours militant jusqu'au détail de ses gestes sur la scène de sa mort, tout l'accable et atteste de son intention préméditée de provoquer les facteurs du drame.
La nature de son engagement radical et les modalités violentes de son militantisme sont des facteurs de désordres et de risques évidents que pouvaient anticiper les cadres et les responsables politiques de gauche plus ou moins liés à son mouvement. Ils ne l'ont pas fait, bien au contraire.
Or nous savons que le périmètre des politiques "commanditaires" des services antifa remonte jusqu'au plus haut niveau du Parti Socialiste et du Front de Gauche actuels.

2

Il est établit aussi que le gouvernement et l'ensemble de son réseau politique et médiatique de gauche ont officiellement cautionnés et endossé la justification de cet engagement, de ces méthodes, par conséquent de ces facteurs de désordres et de risques mortels
- en désignant les statut de victime et d'agresseur avant l'investigation de la justice
- en publiant des narrations fictives
- en rendant "hommage" à la pseudo-victime
- en maintenant la thèse de l'agression malgré le rapport de la justice
- en omettant de sanctionner par dissolution les organisations antifa, mais en sanctionnant au contraire d'autres qui sont hors de cause

L'implication du gouvernement dans le drame est beaucoup plus profonde qu'on ne l'a dit.
On ne peut se contenter de constater la simple récupération politique d'un fait divers : nous sommes en face d'un système organisé de manipulation capable d'organiser la mise en scène de de violence et la production de "martyrs".

3

Si on ne peut prouver que le gouvernement et son réseau ont prémédité et organisé l’exécution factuelle on démontre aisément qu'ils en avaient bien prémédité le principe et analysé avant les faits les bénéfices politiques.
Restait donc à décrire comment ils opèrent le passage à l'acte, selon quelles inspirations, conformément à quels antécédents ? C'est ce que développe Lucien Cerise dans son article sur scriptoblog : Clément Méric, victime d'un coup monté ? 

Ce qui nous amène à une autre idée : Le pouvoir ne cherche même plus la vraisemblance de ses thèses et à masquer son cynisme. Tout montre qu'il valorise prioritairement sa faculté de déni et le mensonge comme une bravade lancée au peuple dans l'intention de le provoquer et d'affirmer le substitut d'un pouvoir réel sur les vrais enjeux qu'il n'a plus.
Le gouvernement des faibles est le plus dangereux et le plus violent. Attendez-vous au pire.

samedi 3 août 2013

L’architecture contemporaine, idéologie de la laideur, laideur d'une idéeologie


Voici une conférence dont tout conseil municipal devrait s'inspirer avant d'entreprendre des travaux d'urbanisme dans une ville de France.

idée générale : L'architecture contemporaine est laide parce que les idées qu'elle véhicule sont laides.

Conférence de David Orbach, architecte urbaniste, sur le thème “Pourquoi ne construit-on plus aussi beau qu’autrefois ? Comment refuser l’architecture contemporaine pour la reprendre à partir de l’Art Nouveau."
Séminaire d'architecture d'Isabelle Coste et David Orbach à l'Université Populaire de Caen, créée par Michel Onfray